Elles vivent en communautés fraternelles selon l'esprit de leur Fondatrice, "ressemblant plus à une grande famille qu'à un couvent".

Aujourd'hui, les religieuses, "petites glaneuses" à la suite d'Amélie FRISTEL, croient encore en la force de vie que porte tout épi et regardent du côté de l'avenir où Dieu les appelle et les envoie. À l'heure du vieillissement, à l'heure d'Internet, les sœurs cherchent davantage à s'insérer dans ce qui est et se révèlent collaboratrices actives plutôt qu'initiatrices. Elles veulent vivre proches, avec, partenaires et solidaires, continuant à créer de nouveaux lieux missionnaires. Là, elles cueillent "les épis que les ouvrières de la première heure ont laissés" et les offrent au Dieu Maître de toute croissance.